Les Blaireaux et les
Mauvaises Langues
// Résumé TRES TARDIF,
puisque fait en JUIN 2010 \\
Le
vendredi 21 novembre 2008 au Trabendo à Paris :
Un an après, je retourne voir les Blaireaux, ce coup ci à Paris, au
Trabendo, une salle située dans le parc de la Villette.
Et bien pour commencer, j'ai galéré, pour garer la voiture (je rentre
ensuite en province), pour rejoindre la salle, si bien que j'arrive
très en retard pour le concert des Mauvaises Langues, qui accompagnent
les Blaireaux dans cette soirée des ch'tis.
Les Mauvaises Langues, je connais déjà, je les avais croisé en première
partie des Têtes Raides en 2004, et d'ailleurs, nous étions déjà
arrivés en retard ...
Je vais quand même pouvoir regarder avec plaisir le concert des ces
Mauvaises Langues, qui offrent un très bon spectacle, avec des chansons
festives, qui sont chantonnées par quelques spectateurs (ou plutôt
spectatrices) dans le public.
Le violon donne aux guitares un côté plus harmonieux de ce groupe qui
semblent sortir un peu des années 90. Même si le style semble un peu du
passé, j'aime bien ce bout de concert, et trippe totalement avec le
snake, fait par le chanteur. Le chanteur d'ailleurs est bon, bonne
voix, bonne présence. Ce groupe va vraiment me plaire, et va nous
offrir une merveilleuse première partie pour les Blaireaux, qui vont
suivre.
Au passage, je m'offre les quatre disques des Mauvaises Langues, oui,
profitons en !
Les Blaireaux arrivent ensuite sur scène, toujours aussi impeccables.
On débute par le Baron, puis toute la classe blaireautique vient se
retrouver sur scène.
Au niveau des nouveautés, François est parti, et Anatole le remplace
aux claviers (petites larmes, après la perte du deuxième blaireau
initial, après Julien).
Au niveau des confirmations, la prestation des Blaireaux est vraiment
très bien rodée, toujours aussi drôle et théâtralisée. Peu de chansons
nouvelles au cours de ce concert, qui sera un peu trop court pour ma
gourmandise (à peine 1h30).
Je peux profiter des belles chansons, notamment Comment j'ai mangé ma
mère (avec Lucas Patapin), ou encore apprécié pleinement l'histoire
magnifique du veilleur de nuit.
Aussi, j'ai adoré quand Alexandre commence un show sensuel, qui se
termine par un jeu de cirque où Alexandre le lion mange la tête de Pierre le dompteur, et un petit dub musical qui se rapproche
du disco .. très fort !
La fin du concert est tout aussi belle, avec encore une fois le
PomPomFrites repris en coeur par des personnalités, dont je ne me
souviens plus qui elles étaient ...
Une petite discussion rapide avec Pierre (eh, Nadal est bientôt premier
mondial, nananère :p), et nous sommes jetés dehors par des vigiles un
peu trop zélés.